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La maladie de décompression ou MDD est la terminologie utilisée pour désigner la surpression pulmonaire et l'accident de décompression.
La surpression pulmonaire survient lorsque durant sa remontée la plongeur retient sa respiration. Il s'agît d'une lésion pulmonaire qui revient à une libération d'air dans le corps.
Sans rentrer dans le détail des 4 types de lésions possibles, globalement le risque le plus grave et le plus fréquent est l'arrivée de ces petites bulles dans le cerveau ce qui va entrainer des symptômes équivalents à une attaque cérébrale.
La différence avec l'accident de décompression réside dans le type de gaz qui se disperse dans le corps pour l'ADD, le problème provient de l'azote. L'azote dissout dans le corps durant la plongée peut retourner à l'état de bulle à l'issue de la remontée. Cet état survient généralement moins de trois heures avant la remontée. Les symptômes sont relativement les mêmes que ceux de l'embolie pulmonaire.
Pour éviter ce dernier trouble, il faut absolument respecter les durées, profondeurs de plongée et toujours se munir d'un ordinateur ou de respecter les tables de plongée.
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Il y a 3 types de combinaisons :
- humides
- semi-étanches
- étanches
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Le détendeur a pour fonction de ramener l'air compressé de votre bouteille à un niveau de pression respirable et tout cela à la demande.
Le détendeur est composé :
- du premier étage qui vient s'attacher à la robinetterie de la bouteille,
- du second étage que vous mettrai dans votre bouche,
- d'un second deuxième étage jaune fluo au flexible plus long qui sera votre source d'air de secours,
- d'un manomètre qui vous permettra de constater la pression de votre bouteille et donc votre consommation d'air. Le manomètre peut également compter d'autre options comme un thermomètre, un compas (boussole),
un flexible de raccordement au direct système de votre gilet stabilisateur.
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Les bouteilles de plongée contiennent généralement de l'air comprimé à haute pression.
Les capacités les plus courantes sont 12 ou 15 litres. Les pressions les plus courantes tournent autour de 220 bars.
Les bouteilles sont essentiellement en acier ou en aluminium.
Les robinetteries sont de deux types :
- DIN, le détendeur est vissé, le joint est placé dans celui-ci
- étrier, le détendeur est plaqué et le joint est côté robinetterie.
Le joint doit-être vérifié car si il n'est plus étanche, votre plongée sera impossible.
Les bouteilles doivent être vérifiées une fois par an pour analysez si de la corrosion se forme à l'intérieur. Les bouteilles doivent toujours comporté une pression résiduelle minimum de 10 bars pour éviter que de l'humidité se forme à l'intérieur.
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Le gilet stabilisateur ou stab ou BCD (Buoyancy Control Device) en anglais, vous permet de contrôler votre flottabilité.
Il est connecté à votre bouteille d'air comprimé et vous permet d'ajouter de l'air ou de purger cet air afin de gérer votre profondeur sans effort, sans palmer dans un sens ou dans un autre.
La stab est composée de
- un backpack pour l'attacher à la bouteille,
- un direct système qui vous permet de gonfler ou purger l'air de votre gilet, il est connecté à un des tuyaux de votre octopus,
- une soupape de surpression pour ne pas endommager le gilet en cas de surpression,
- deux purges rapides, une à l'avant et une seconde à l'arrière, accessibles toutes deux avec la main droite. La purge rapide arrière est optionnelle mais est bien utile lorsque vous avez le tronc orienté vers le bas et que vous souhaitez dégonfler votre gilet.
- des sangles de serrage pour l'ajuster sur votre combinaison.
- des poches qui vous permettrons de ranger vos tables, votre parachute, etc...
- parfois des poches dans lesquelles vous pourrez ranger vos plombs. Ces poches sont différentes des premières, elles comportent des tirettes pour pouvoir les retirer rapidement du gilet en cas de problème sous l'eau ou plutôt à la surface. cela permet de ne pas avoir ses plombs autour des hanches et donc de ne pas risquer de souffrir du dos en sortant de l'eau.
Si il a toutes ces options, il n'y a plus qu'à choisir la bonne taille.
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